Le Cercle d’Amitié enregistre cinq nouvelles adhésions, dont quatre au sein de la majorité présidentielle.
Le Cercle d’Amitié France-Artsakh a enregistré ces derniers jours cinq nouvelles adhésions en les personnes de Sonia Krimi, députée LREM de la Manche, Bernard Buis, sénateur LREM de la Drôme, Jean-Pierre Cubertafon, député MoDem de Dordogne, Guillaume Kasbarian, député LREM d’Eure-et-Loire et Pierre Ouzoulias, sénateur PC des Haut-de-Seine.
« Nous nous félicitons de cet élargissement du Cercle qui atteint désormais plus de soixante-cinq maires, députés, sénateurs et anciens élus » a commenté Guy Teissier, le Président du Cercle d’Amitié France-Artsakh. « Ces nouvelles adhésions témoignent du soutien des élus de la République pour la consolidation de l’Etat de droit en Artsakh et de l’intérêt qu’ils éprouvent pour le développement des valeurs démocratiques qui s’y opère sur le modèle français » a poursuivi Guy Teissier.
Quatre des cinq nouveaux élus appartiennent à la majorité présidentielle, trois de la République en Marche, un du MoDem. Le Cercle – structure non partisane – note l’écart grandissant entre le courage et le pragmatisme de la Représentation nationale – toute tendance confondues et majorité présidentielle comprise – et les arcs-boutements infructueux défendus par le Quai d’Orsay sur la question de l’Artsakh.
« L’exécutif reste bien sûr le seul maître de la politique qu’il déploie mais il faut à un moment que le gouvernement tienne compte de la position exprimée avec constance et sérénité par la Représentation nationale » a indiqué Guy Teissier. « Je pense que le Président de la République a entendu l’engagement des parlementaires en faveur des droits de la population d’une démocratie telle que celle de l’Artsakh et nous saluerions qu’il infléchisse la position du Quai à cet égard » a estimé le Président du Cercle d’Amitié.
Le Cercle d’Amitié France-Artsakh milite pour la réintégration des autorités de la République d’Artsakh dans le cadre des négociations menées sous l’égide du groupe de Minsk de l’OSCE, réintégration qu’il voit comme une condition indispensable à la restauration de la paix au Sud-Caucase.