L’Arménie un an après

Ce mercredi 23 novembre, à l’invitation du Président Larcher, le Sénat a accueilli une grande conférence sur « l’Arménie un an après », organisée par le groupe de liaison, de réflexion, de vigilance et de solidarité avec les Chrétiens d’Orient, les minorités au Moyen-Orient et les Kurdes, président par M. Bruno Retailleau, et par l’Ambassade de la République d’Arménie en France

La question de l’Artsakh, dans le cadre plus générale de la menace que fait peser la dictature azerbaïdjanaise dans le Suc-Caucase, y a été largement évoquée

La conférence intégrale disponible sur le site du Sénat

Guy Teissier revient sur ses actions de soutien à l’Artsakh

Au cours d’un entretien exclusif en date du 28 mars, Guy Teissier, vice-président du Cercle d’Amitié France-Artsakh, revient sur l’identité arménienne de cette petite République du Sud Caucase, les projets d’adduction d’eau dont il a permis le financement et la politique de francophonie menée par les autorités artsakhiotes.

Un engagement sans concession

Journées de l’Artsakh à Sarcelles: François Pupponi s’exprime

A l’occasion du passage à Sarcelles des « Journées de l’Artsakh en France », nous avons recueilli la parole de François Pupponi, député du Val-d’Oise et membre fondateur de notre Cercle, sur la situation de la République au Sud-Caucase. Un plaidoyer pour un rôle accru des relations entre les sociétés civiles, pour la paix et pour la démocratie.

Sur les Journées de l’Artsakh en France Continuer la lecture de « Journées de l’Artsakh à Sarcelles: François Pupponi s’exprime »

Il y a 27 ans, le pogrom de Soumgaït

Il y a 27 ans, les autorités de la République naissante d’Azerbaïdjan ordonnaient et planifiaient le massacres de centaines de personnes de la minorité arménienne du pays. Du 26 au 29 février 1988, Soumgaït, banlieue industrielle de Bakou, allait devenir le théâtre de véritables pogroms qui rappelèrent les heures les plus sombres de l’histoire arménienne.

 Le documentaire proposé ci-dessus par le Cercle d’Amitié France-Karabagh démonte les mécanismes de la terreur d’Etat  qui, en évoquant le Génocide de 1915, ont finalement conduit les Arméniens du Haut-Karabagh d’Azerbaïdjan à se soustraire à l’autorité meurtrière de Bakou en s’érigeant en République indépendante en toute conformité avec les dispositions de la Constitution soviétique alors en vigueur.