Avec près de 50 membres, le Cercle s’avère aussi actif que les Groupes d’Amitié parlementaires les plus importants.
Jeudi 21 janvier 2016 – le Cercle d’Amitié France-Karabagh est heureux d’enregistrer l’adhésion de huit nouveaux membres : Mmes Françoise Dumas (députée du Gard, PS) et Nathalie Niezon (députée de la Drôme, PS), ainsi que MM. Michel Destot (député de l’Isère, PS), Hugues Fourage (député de Vendée, PS), François-Michel Lambert (député des Bouches-du-Rhône, PS), Jean Launay (député du Lot, PS), Emmanuel Mandon (Conseiller régional Auvergne Rhône-Alpes, UDI) et Bruno Le Roux (député de Seine-Saint Denis, Président du Groupe socialiste à l’Assemblée nationale). Avec ces huit nouveaux membres, le Cercle d’Amitié compte désormais 48 adhérents.
« L’engouement que suscite notre Cercle parmi les élus de toutes les familles politiques et de toutes les régions de France atteste de la justesse de la Cause que nous défendons, celle de la paix et de la démocratie au Caucase du Sud, mais aussi l’efficacité de notre action » ont affirmé dans une déclaration conjointe M. François Rochebloine, le Président du Cercle et MM. René Rouquet et Guy Tessier, vice-présidents.
De nombreux observateurs soulignent qu’avec près de cinquante membres et une action politique forte venant en complément de la diplomatie française, le Cercle d’Amitié France-Karabagh s’affirme comme l’un des outils les plus performants au service du rayonnement et de l’influence française dans une région d’intérêt stratégique.
« Nous nous félicitons de l’adhésion de nos collègues et notamment de celle des parlementaires proches de l’exécutif. Leur arrivée démontre une meilleure compréhension de la problématique karabaghiote par la classe politique nationale et elle permettra une meilleure prise en compte des aspirations de la société civile française vis-à-vis de ce pays. Le poids et la crédibilité de la France n’en sortiront que renforcés » a renchéri François Rochebloine, le Président du Cercle d’Amitié.
Un point de vue également soutenu par MM. Rouquet et Teissier qui ont souligné qu’« avec près de cinquante membres, le Cercle d’Amitié constitue une communauté d’élus représentative et qui pourra utilement œuvrer en faveur d’une meilleure connaissance du Haut-Karabagh, de ses problématiques et de ses institutions par les pouvoirs publics nationaux ».