A l’occasion des journées de l’Artsakh en France, Annie Koulaksezian-Romy, conseillère municipale de Valence déléguée au patrimoine culturelle explique le sens de ces journées et celui des chartes d’amitié signées entre municipalités françaises et artsakhiotes. Une émission radiodiffusée de RCF.
L’Artsakh, l’enclave arménienne qui édifie sa nation
Dans son édition du 28 août, le journal La Provence gratifie ses lecteurs d’un reportage exceptionnel sur l’Artakh. Une enquête de Frédéric Cheutin
Comme les précédentes, cette nuit d’été n’avait pas été calme. Blottis dans le réseau de tranchées bordant leur minuscule « République d’Artsakh » (lire ci-dessous les principales étapes de l’histoire de l’Artsakh), que la communauté internationale se refuse toujours à reconnaître, les soldats artsakhiotes avaient subi de nouveaux tirs des forces azéries massées en contrebas et avides de reprendre ces « 13 % de territoires occupés par les Arméniens« . Pour montrer qu’eux ne céderaient pas leur droit à vivre à l’abri des pogroms anti-Arméniens dont ils avaient été régulièrement les victimes après le rattachement de leur terre à l’Azerbaïdjan soviétique décidé par Staline en 1921, les soldats de la petite république avaient répliqué. Comme chaque nuit, ou presque, en dépit du cessez-le-feu signé en 1994 sous l’égide du Groupe de Minsk organisé par l’OSCE.
Sarcelles s’engage auprès des Arméniens du Haut-Karabagh
Un article exceptionnel du Parisien revient sur les raisons de l’engagement de Sarcelles et de son maire François Pupponi pour la paix, la justice et la démocratie dans le Sud-Caucase.
Déjà signataire d’une charte d’amitié, le député-maire PS François Pupponi a décidé d’accueillir en 2018 une semaine culturelle consacrée à cette région indépendantiste.
C’est une enclave largement méconnue du grand public. Pas même reconnue par les pays membres de l’ONU. Pourtant, plusieurs villes françaises, dont Sarcelles, ont signé des chartes d’amitié avec des communes de la République d’Arstakh, région indépendantiste du Haut-Karabakh. Pour la première fois, une semaine culturelle consacrée à cette province arménienne rattachée à l’Azerbaïdjan en 1921 par Staline, sera même organisée en mars 2018 à Sarcelles. Un geste fort de soutien à cette région de 149 000 habitants, proche de l’Arménie, autoproclamée indépendante en 1991 lors de la chute de l’URSS. Mais l’Azerbaïdjan revendique ce territoire et n’apprécie pas l’initiative de Sarcelles. Continuer la lecture de « Sarcelles s’engage auprès des Arméniens du Haut-Karabagh »
Artsakh: Nicolas Daragon, Maire de Valence salue la réélection de Bako Sahakian
Source: Nouvelles d’Arménie Magazine
Nicolas Daragon, Maire de Valence salue « la réélection du président sortant de l’Artsakh, Bako Sahakian, l’Artsakh « un symbole de stabilité démocratique au cœur du Caucase du Sud »
Dans un communiqué de presse en date du 21 juillet, Nicolas Daragon, Maire de Valence, « exprime sa satisfaction et renouvelle son soutien au président Bako Sahakian alors que l’Artsakh, république arménophone du Caucase du Sud, est toujours en quête d’une reconnaissance internationale. » Ci-dessous la suite du communiqué : Réunie en session spéciale mardi 19 juillet dernier, l’Assemblée nationale de l’Artsakh (nom historique de la République du Haut-Karabagh, en référence à l’une des 10 provinces de l’ancien royaume d’Arménie) a procédé à l’élection du chef de l’Etat. Continuer la lecture de « Artsakh: Nicolas Daragon, Maire de Valence salue la réélection de Bako Sahakian »
L’Artsakh et le Centre TUMO évoqués sur France-Culture
La journaliste Nadine Epstain s’est rendue en Artsakh. Elle a rendu compte de la situation actuelle de la plus petite république du Sud Caucase en évoquant largement le centre TUMO pour les technologies créatives de Stepanakert.
Ce reportage a été diffusé lors du journal de France-Culture, le lundi 17 juillet à 18h00. Extrait:
La présence de la France en Artsakh
Artsakhpress, un média dynamique de la République d’Artsakh, a eu la bonne idée de mettre à disposition un petit film promotionnel en français, destiné à mieux faire connaître l’Artsakh aux internautes francophones.
Le Cercle d’Amitié a l’honneur de vous faire partager ces 9 minutes d’évasion.
Sur la liste noire de l’Azerbaïdjan
Le député wallon André Du Bus est inscrit, avec d’autres représentants de la Belgique, sur la liste noire des personæ non gratæ en Azerbaïdjan. Que s’est-il passé ?
La corruption de l’Azerbaïdjan s’arrête aux frontière de la France
Commercer avec l’Azerbaïdjan coûte 1 milliard au contribuable français.
Une tribune de Laurent Leylekian revient sur le rapport de la Mission d’information sur l’Azerbaïdjan
Des députés belges sur la « Liste noire » de l’Azerbaïdjan
Une opinion de parlementaires belges: André du Bus, Jean-Claude Defossé, Julie de Groote, Simone Susskind, Fatoumata Sidibé, Hervé Doyen, Paul Delva, Benoît Drèze, Emmanuel De Bock et Pierre Kompany.
Pour être allés en République d’Artsakh, une dizaine de nos parlementaires sont fichés comme indésirables en Azerbaïdjan. Lettre à leur ambassadeur.
Pourquoi la France « garde-t-elle un silence assourdissant » dans l’affaire Lapshin incarcéré en Azerbaïdjan ?
Dans une tribune au « Monde », le président du conseil départemental de la Drôme, Patrick Labaune, explique que ce jeune blogueur russo-israélien a été extradé de Biélorussie vers l’Azerbaïdjan pour s’être rendu dans le Haut-Karabakh. Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev est à Paris en visite officielle. La France doit lui demander des explications.
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